COLLECTE DES DÉCHETS
La collecte des déchets ménagers est assurée par Lorient Agglomération sur les 25 communes que compte son territoire. Les poubelles sont mises à disposition de chaque foyer pour permettre le tri de 3 flux de déchets collectés en porte-à-porte : les biodéchets (bac vert ou sac vert), les emballages (bac jaune) et les déchets non recyclables (bac bleu). Les papiers, le verre et les textiles sont, quant à eux, à déposer dans les colonnes dédiées situées à proximité des lieux de résidence.
Au cimetière
Dispositif de tri : des bacs jaunes (emballages) et des bacs ouverts pour collecter la terre et les plantes.
À propos de la collecte des déchets par Lorient Agglomération
Vous pouvez appeler le numéro vert 08 00 10 06 01, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h.
Sur le site internet de Lorient Agglomération en cliquant ici
Vous pouvez y consulter un moteur de recherche, en choisissant votre commune de résidence dans le menu déroulant, puis en saisissant votre adresse de domicile, vous obtiendrez les jours de collectes de vos trois poubelles (verte pour les bio déchets, jaune pour les emballages et bleue pour les autres déchets).
Il est rappelé que les bacs de déchets à collecter doivent être sortis la veille du passage du camion de Lorient Agglomération. Les collectes sont effectuées le matin.
Déchetterie
Les jours d’ouverture de la déchetterie de Villemarion à Riantec (08 00 10 06 01) ont évolué et sont maintenant valables pour toute l’année.
Ouverte du mardi au samedi, de 10h à 12h30 et de 14h à 18h. Fermée toute la journée le lundi et le dimanche.
Retrouvez toutes les informations sur les déchetteries en cliquant ici
Comment trier ses déchets
Points de collecte du verre et du papier
4 bonnes raisons de trier ses déchets
Tri des biodéchets et valorisation des végétaux
Obligation du tri des biodéchets à la source à partir de janvier 2024 : qu’est-ce que ça
change pour les communes de Lorient Agglomération ?
La loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire pour une économie
circulaire (AGEC) prévoit une généralisation du tri à la source des biodéchets au 1er janvier 2024
pour tous les producteurs de déchets en France. Cette échéance n’aura aucune incidence pour les
habitants puisque la collecte des biodéchets en porte en porte, opérationnelle sur les 25
communes depuis 2022, répond déjà à cette obligation législative.
Cette solution avait alors été choisie pour correspondre aux objectifs de la Charte de
l’environnement et du développement durable adoptée localement, qui ambitionnait de réduire au
maximum le tonnage de déchets non recyclables destinés à l’enfouissement (déchets de la poubelle
noire).
Précurseur dans ce domaine, Lorient Agglomération l’était à nouveau en 2005, avec la création
d’une unité de traitement biologique destinée aux biodéchets, à Adaoz à Caudan. Le compost
produit est certifié ASQA (amendement sélectionné qualité attesté). Il est ensuite revendu aux
agriculteurs dans un rayon de 20km autour d’Adaoz pour amender leurs terres et chaque année une
centaine de tonnes de compost est distribuée gratuitement au grand public lors d’évènements
locaux.
Quels déchets peuvent être déposés dans la poubelle verte ?
Tous les déchets acceptés dans le bac vert sont les déchets dits « fermentescibles » : épluchures
et restes de repas, coquilles et crustacés, vaisselle compostable, boîte d’œufs, essuie-tout, filtre et
marc de café, nappes en papier, etc.
Où trouver des sacs pour le tri des biodéchets ?
Afin de faciliter le tri des déchets fermentescibles dans son bioseau, limiter les salissures dans sa
poubelle et faciliter le vidage du bac au moment de sa collecte, il est demandé de déposer les
biodéchets dans du papier journal ou en sacs compostables. Ceux-ci sont distribués gratuitement en
déchèterie, en mairie et à la Maison de l’Agglomération à Lorient. La composition de ces sacs permet de ne pas nuire à la qualité du compost produit. Pour les habitants qui souhaiteraient acheter directement leurs propressacs, voici quelques conseils. Seuls les sacs compostables labellisés « Ok Compost » ou « Ok compost home » sont acceptés. Ces labels garantissent la décomposition totale du sac dans le compost sans aucun risque toxique pour l’environnement.
En revanche, il est interdit d’utiliser des sacs plastiques qu’ils soient petits ou grands, transparents
ou colorés. Les sacs dit « Oxo-dégradables », « Oxo-biodégradables » ou « Oxo-fragmentables » sont
également interdits pour collecter les biodéchets. Ils sont en fait à base de plastique classique qui
se fragmente sans se décomposer. De la même manière, les sacs mentionnant une fabrication à
partir de « matière végétale » ne sont pas gage de biodégradabilité, ils sont donc également refusés.
Les végétaux : quelles solutions pour les garder à domicile ?
Le Plan local de prévention des déchets identifie les déchets végétaux, comme gisement le plus
élevé et en augmentation (84kg par an et par habitant en moyenne). La priorité est donc désormais
de réduire ce segment de 2kg/an/hab entre 2021 et 2026.
S’ils sont toujours acceptés dans le réseau des 12 déchèteries de Lorient Agglomération, des
solutions alternatives au dépôt de végétaux en déchèterie sont proposées telles que : l’aide à la
location d’un broyeur 1 mais aussi l’encouragement des habitants à la pratique du paillage et/ou du
mulching. Utiliser sa pelouse, majoritairement composée d’eau, en paillage chez soi limite ainsi
l’apport en engrais, diminue la fréquence des arrosages et bénéficie à la biodiversité des insectes,
auxiliaires du jardin. Au contraire, une fois évacuées en déchèterie, les tontes présentent très peu
d’intérêt pour la qualité du compost produit et sont par ailleurs couteuses à traiter et évacuer.
Territoire zéro déchet
Les services de Lorient Agglomération vous annoncent la mise en ligne du nouveau site internet « Territoire zéro déchet » développé dans le cadre de l’appel à projets « Territoire zéro gaspillage, zéro déchet » dont l’agglomération est lauréate. Vous pouvez le consulter dès à présent en cliquant ici
Cap 0 mégot !
Depuis le 1er avril 2019, et suite à la 35ième édition du World Clean Up Day (où plus de 30 000 mégots avaient été collectés), la ville de Port-Louis s’est lancée dans l’opération 0 mégot. Cette campagne vise à sensibiliser chaque citoyen à la protection de l’environnement.
Retrouvez ci-dessous les articles relatant notre action :
– L’article France TV ici
– Les articles Ouest-France ici et ici
– L’article du Télégramme ici, le bilan de la récolte des mégots de l’année 2019 à Port-Louis.
Les bacs à marée
Des bacs à marée ont été mis à disposition des usagers des plages.
Vous trouverez les 3 bacs à marée sur les lieux suivants :
– À gauche de la Porte des Prisonniers, au bord du chemin du Lohic,
– À la Côte Rouge, près de la rampe d’accès PMR et du stationnement vélo,
– Au croisement de la rue de la Digue et du Chemin de la Digue.
Gestion du cimetière
La commune de Port-Louis a procédé en 2015 à la reprise de terrains concédés temporairement et non renouvelés dans le cimetière communal (Code Général des Collectivités Territoriales, notamment l’article L. 2223-15).
Pour renouveler ces concessions arrivées à échéance, merci de bien vouloir contacter la Mairie. Ci-dessous la liste des concessions à renouveler. En visitant le site « Cimetières de France et d’ailleurs », découvrez celui de Port-Louis, en cliquant ici.
VILLES ET VILLAGES FLEURIS
Port-Louis a reçu 2 pétales lors de la cérémonie des villes et villages fleuris 2019.
C’est un bel encouragement qui récompense le travail et la démarche du service espaces verts, en partenariat avec les élus et les citoyens impliqués.
Ville au riche passé historique, implantée dans le Morbihan, véritable sentinelle de la rade de Lorient, Port-Louis est idéalement située pour afficher son identité maritime.
Un patrimoine exceptionnel avec 32 monuments et sites d’intérêt paysager classés, inscrits ou répertoriés au titre des monuments historiques.
Le service Espaces Verts de la ville de Port-Louis est polyvalent, notamment lors des nombreuses manifestations sur la commune. Il participe à l’embellissement du centre-ville.
À travers sa politique de plantation et fleurissement, la commune souhaite apporter un cadre de vie agréable aux habitants et visiteurs de passage.
La commune pratique également les grands principes du développement durable : participation des habitants, du conseil municipal des jeunes, des écoles, développement de la biodiversité, etc.
7 jeunes, orientés par le service technique, ont aidé à repeindre le Driasker et y ont également réalisé une fresque.
PETITE MER NATURE
Les municipalités de Gâvres, Port-Louis et Riantec ont décidé de créer le label « Petite Mer Nature ». L’objectif de cette union est de rendre accessible au grand public la nombreuse documentation existante à propos de la petite mer, établie par les différents intervenants sur le territoire. Pour concrétiser leurs idées, les communes ont missionné Erwann Le Cornec, du bureau d’études « Géos aménagement littoral », de collecter et synthétiser l’ensemble des documents traitant des caractéristiques environnementales et socio-économiques de la Petite Mer et de son rivage.
FRELONS, CHENILLES, PLANTES INVASIVES…
Liste des plantes invasives de Bretagne
Le caractère invasif d’une plante est évalué selon 3 degrés que vous trouverez définis ci-dessous :
Invasive avérée :
Plante non indigène ayant, dans son territoire d’introduction, un caractère envahissant avéré et ayant un impact négatif sur la biodiversité et/ou sur la santé humaine et/ou sur les activités économiques.
Invasive potentielle :
Plante non indigène présentant actuellement une tendance au développement d’un caractère envahissant à l’intérieur de communautés naturelles ou semi-naturelles et dont la dynamique à l’intérieur du territoire considéré et/ou dans des régions limitrophes ou climatiquement proches, est telle qu’il existe un risque de la voir devenir à plus ou moins long terme une invasive avérée. À ce titre, la présence d’invasives potentielles sur le territoire considéré justifie une forte vigilance et peut nécessiter la mise en place rapide d’actions préventives ou curatives.
À surveiller :
Dans les milieux naturels ou semi‐naturels, une plante à surveiller est une plante non indigène ne présentant actuellement pas (ou plus) de caractère envahissant avéré ni d’impact négatif sur la biodiversité dans le territoire considéré mais dont la possibilité de développer ces caractères (par reproduction sexuée ou multiplication végétative) n’est pas totalement écartée, compte tenu notamment du caractère envahissant de cette plante et des impacts sur la biodiversité dans d’autres régions. La présence de telles plantes sur le territoire considéré, en milieux naturels ou anthropisés, nécessite une surveillance particulière, et peut justifier des mesures rapides d’intervention.
Vous trouverez en cliquant ici, les listes des plantes envahissantes, potentiellement envahissantes et les espèces à surveiller en Bretagne.
Les frelons asiatiques : danger
Le frelon asiatique est arrivé dans le Morbihan en 2011. À l’époque, 5 nids avaient été répertoriés, en 2016 leur nombre était évalué à 5 000, en 2023 ils pourraient atteindre le chiffre de 6 000. Quand on sait que leur piqûre peut avoir de très graves conséquences, il y a lieu de réagir que l’on soit une collectivité ou un particulier.
Le frelon asiatique peut provoquer des chocs anaphylactiques notamment chez les personnes cardiaques ou allergiques. Il ne laisse pas son dard dans la piqûre et donc peut piquer plusieurs fois, voire même expulser son venin dans les yeux ce qui est tout aussi dangereux. Il attaque en groupe et peut poursuivre sa victime sur une distance allant jusqu’à 50m. On voit donc qu’il ne faut pas prendre la question à la légère, pour soi, mais également pour les autres.
Contrairement à ce que l’on pense généralement, 60% des nids sont au sol, dans les ronces, les haies, les couvres-sols, les composteurs, sous les grilles de regards… Le reste se retrouve dans les arbres, maisons, grues de chantier… Les frelons peuvent hiberner dans des endroits improbables comme les bottes laissées dehors l’hiver…
La plus grande vigilance est de mise pour tous au niveau des habitations comme des jardins. Jardinier amateur (taille des haies ou débroussaillage par exemple), personnel d’entretien des espaces verts, promeneur solitaire ou accompagné d’un enfant dans un univers végétal, il appartient à chacun d’être attentif. Les frelons ont très peu de prédateurs. Une reine construit un nid primaire en 6 jours en épluchant les arbres pour utiliser leur écorce. Elle apprécie tout particulièrement de s’installer dans les camélias. Viendront les nids secondaires plus gros, voire très gros.
Dans les collectivités, il existe des personnels référents sur ce problème. Ils sont à l’écoute des habitants qui constatent la présence d’un nid chez eux pour les guider dans les démarches à entreprendre pour s’en débarrasser, notamment
communiquer les coordonnés des professionnels référencés par la FDGDON Morbihan (Fédération Départementale des Groupements de Défense contre les Organismes Nuisible) qui pourront intervenir parce que la destruction d’un nid de
frelon est une affaire de professionnel. Référent Ville de Port-Louis : Sylvie Landa : guichetunique@ville-portlouis.fr
Les services techniques de Port-Louis, quant à eux, surveillent les espaces communaux et les nids repérés sont détruits par une entreprise spécialisée. Nous vous invitons à consulter le site de la FDGDON sur lequel vous trouverez tout
qu’il faut savoir sur le frelon asiatique et sur les moyens de lutter contre, notamment la prévention par piégeage d’avril à fin mai. Site internet, tapez FDGDON56. Mais déjà quelques explications pour construire vous-mêmes des pièges à frelon, sélectifs afin de ne piéger que les frelons et pas les abeilles…
Plusieurs « recettes » existent pour composer le mélange à déposer dans le piège : 2/3 de bière alcoolisée et 1/3 de sirop de fraise OU 1/3 de bière de préférence brune, 1/3 de sirop de cassis et 1/3 de vin blanc. Et si vous n’avez pas de sirop de fraise ou de cassis, tout autre fruit rouge fera l’affaire. Ces pièges sont à installer d’avril à mai, la mixture est à renouveler une fois par semaine sans laver les pièges parce que les frelons y laissent leurs phéromones qui viennent augmenter l’attirance du piège. Pas besoin de les installer en hauteur, 1,50m du sol cela suffit.
Chenilles processionnaires
La chenille processionnaire du pin
est un insecte connu pour son mode de déplacement en file indienne auquel elle doit son appellation.
Présente dans le Morbihan depuis plusieurs années, elle se fait remarquer par les cocons duveteux qui abritent ses larves dans les pins. C’est à ce stade de sa croissance qu’il faut intervenir pour éviter que la chenille ne puisse descendre à terre car son contact occasionne des réactions de type urticaire très douloureuses, voire plus graves, ce qui mérite qu’on fasse tout pour éviter de se retrouver confronté au problème.
Dans un premier temps, des collerettes ont été installées sur les troncs des pins pour piéger les chenilles sortant de leurs cocons. Vous l’aurez remarqué, les tempêtes en ont détruit certaines qui ont été remplacées.
Un premier travail de coupe des cocons a ensuite été réalisé par les services techniques jusqu’à hauteur d’accès avec les moyens municipaux.
La dernière phase de la lutte contre ces chenilles vient de se dérouler : une entreprise spécialisée est intervenue pour éliminer les cocons positionnés en grande hauteur avec un engin élévateur à grand rayon d’action.
Si le nécessaire a été fait au niveau communal, cette opération incombe aux particuliers pour ce qui est des pins situés dans le domaine privé.
Plus d’information : site de la Fédération Départementale des Groupements de Défense contre les Organismes Nuisibles : FDGDON56
Nos amis à quatre pattes…
Tout le monde le souhaite et veut une ville propre, pourtant les premières réunions de quartiers ont révélé des points à améliorer pour le bien-être de tous et chacun doit y mettre du sien.
Rien de plus louable que d’avoir un chien, fidèle compagnon. Mais qui dit « chien », dit aussi contraintes :
- Mon chien, je le tiens en laisse pour éviter tout incident ou accident envers les citoyens ou avec un autre chien.
- Mon chien ne peut aller aux endroits interdits aux chiens comme la plage du casino, … mais il ne sait pas lire les panneaux, vous oui !
- Mon chien ne peut pas dire « j’ai envie d’aller aux toilettes ». Le résultat fait que nos rues et nos espaces publiques sont constellés de petits tas, un régal pour les mouches, le nez, les pieds, etc… La solution est simple : Avoir toujours sur soi un gant et des petits sacs en plastique ainsi que du papier.
- Ces petits gestes citoyens font partie du respect de soi et des autres et contribuent à un cadre de vie agréable.
Monoxyde de carbone
L’hiver approche et avec lui la remise en service des installations de chauffage domestique. Mais l’utilisation des moyens de chauffage n’est pas sans dangers si elle n’est pas faite correctement. Ce qui vaut pour les installations fixes ou de production d’eau chaude, comme pour les chauffages d’appoint (qui ne doivent par être utilisés en continu) ou les groupes électrogènes ou motopompes (qui doivent être installés à l’extérieur des locaux).
Le danger c’est le monoxyde de carbone qui résulte plus particulièrement d’une mauvaise combustion des dispositifs fixes de production d’eau chaude et de chauffage, quelle que soit la source d’énergie (gaz, fuel, pétrole, bois…), associée le plus souvent à une insuffisance de ventilation.
Ce gaz, d’autant plus dangereux qu’il est inodolore et invisible, est la première cause de mortalité par gaz toxique en France.
Le maintien d’une aération permanente dans les locaux, la vérification des équipements et de leurs conditions d’installation ainsi que l’entretien des conduits d’évacuation des fumées par un professionnel qualifié au moins une fois par an demeurent les principaux gages de sécurité.
Plus de renseignements vous pouvez télécharger la brochure explicative.
En cas de suspicion d’une intoxication au monoxyde de carbone (maux de tête, nausées, vomissements…)
les consignes de bonne conduite :
- Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres,
- Arrêter les appareils de combustion si possible ;
- Faire évacuer les lieux,
- Appeler les secours (112, 18 ou 15, 114 pour les personnes malentendantes, ou le centre antipoison d’Angers : 02 41 48 21 21),
- Ne réintégrer les locaux qu’après l’avis d’un professionnel.
Vous pouvez également consulter le site de l’ARS Bretagne (Agence Régionale de Santé).